Kenya Wild Berries

Description

La première chose qui vient à l’esprit quand on pense au café kenyan est «l’acidité», mais nous recherchons plus que de la brillance ridée dans la bouche ou de l’acide citrique en une seule note. En règle générale, nous recherchons des saveurs sophistiquées et compliquées qui mettent en valeur le cassis, le pamplemousse ou le citron vert kaffir, des notes alléchantes de tomate ou de tamarin et des fruits tropicaux pétillants comme l’ananas.

L’usine de café de Gatuya est l’une des stations de lavage du café contrôlée par la New Murarandia Farmers Cooperative Society et comprend environ 3 500 petits producteurs. Chaque agriculteur possède environ 15 à 13 hectares de terres et fournit du café vert à l’usine.

Les origines du café de Kenya remontent généralement au niveau de l’usine ou du moulin: la plupart des agriculteurs possèdent de 18 à 14 hectares et cultivent souvent des cultures autres que le café, ce qui signifie qu’ils dépendent d’un point central pour vendre et transformer leur café. Les agriculteurs livrent leur café vert à l’usine, où les travailleurs le trient, le pèsent et paient en conséquence. Le café est ensuite mélangé avec le reste du café expédié dans la journée et envoyé pour traitement. En raison de ce système, où il y a de plusieurs centaines à un millier d’agriculteurs par plante, la traçabilité vers le producteur individuel est limitée.